Extrait de l’interview :
1) Pouvez vous vous présenter et nous dire comment vous en êtes venu à créer le projet The Wall?
Jeune diplômé parisien, j’ai créé The Wall avec trois associés en janvier 2015. Ils étaient, comme moi, convaincus que l’art urbain est l’une des expressions artistiques les plus populaires, démocratiques et émancipées de toute l’histoire de l’humanité. Cette initiative, qui devait être un hobby, a rapidement pris de l’ampleur en raison de son rapide succès auprès des artistes comme des collectionneurs, des pouvoirs publics comme des amateurs.
2) En quoi consiste le projet?
La galerie The Wall propose, pour la première fois, du Street Art sur son support de prédilection : des murs de taille, couleur et texture différentes, fait sur mesure en fonction des exigences et du style de la quarantaine d’artistes que nous représentons. Chaque collectionneur peut ainsi s’offrir un fragment du réel urbain, les œuvres constituant symboliquement un morceau de mur prélevé sur les façades de la ville qu’il est ensuite possible d’accrocher chez soi.
3) Quel est l’inspiration derrière le projet?
La culture est l’arme absolue du vivre ensemble. Elle permet de se réunir autour d’un centre d’intérêt commun, de créer du lien social autour d’un projet partagé, de réfléchir à la place de l’homme, à sa relation avec l’urbain… Toutefois, s’agissant du Street Art, il manquait un vrai medium de diffusion : utiliser des techniques comme le « pressionisme » sur une toile standard nous paraissait assez triste. Nous avons donc réuni une dizaine d’artistes pour développer le support idéal : les Walls. Ces supports nous permettent de réunir les amateurs autour d’événements réguliers : vernissages, concours, live-painting, expositions, ateliers à destination du jeune public, festivals…
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Nous avons créé la galerie d’art en ligne THE WALL en janvier 2015. Grâce à celle-ci nous exposons les œuvres originales des artistes avec lesquels nous collaborons. Ceux-ci sont invités à créer sur des murs prêt-à-graffer, les “Walls”, que nous fabriquons dans notre atelier d’Aubervilliers (93).
Cette première rencontre est pour nous l’occasion de démarrer un crowdfunding en vue de financer notre premier vernissage prévu au printemps.
]]>Le teaser créatif et décalé annonçant la soirée de lancement de la Galerie The Wall Le 4 mars au Batofar
]]>L’intrigue de ce roman haletant et bien documenté est limpide: un éditeur charge Alejandra
Varela, spécialiste de l’art urbain, de retrouver Sniper, graffeur célèbre pour son talent
exceptionnel et des actions de rue à la limite de la guérilla. Elle doit lui proposer, en même
temps qu’une édition de ses œuvres, une grande rétrospective au MoMA. Mais personne
n’a jamais vu le visage de Sniper, ni ne sait ou il se trouve. De Madrid à Lisbonne, de
Vérone à Naples, Alejandra se lance sur ses traces, dans une traque qui se terminera sur
un piège mortel, à la mesure des performances de cet artiste radical.
Perez-Reverte interroge, au fil de cette aventure impitoyable dans l’univers du graffiti,
la fonction de l’art aujourd’hui et les nouvelles formes de rébellion dans nos sociétés
occidentales mondialisés.
Ce livre a également le mérite de montrer la valeur sociale de l’art urbain: «outre la
transgression et l’adrénaline, le graffiti rend possible une camaraderie inhabituelle dans
d’autres milieux. Une espèce de légion étrangère clandestine et urbaine, anonyme
derrière chaque tag, ou personne l’interrogeait personne sur sa vie d’avant.”
L’utopie, aussi, est présente. Imaginez, demande l’auteur “une ville où il n’y aurait ni flics,
ni critiques d’art, ni galeries, ni musées… Des rues où chacun pourrait exposer ce qu’il
voudrait, peindre ce qu’il voudrait, là où il voudrait. Une ville de couleurs, d’incitations, de
phrases, de pensées qui feraient réfléchir, une ville d’authentique message de vie. Une
espèce de fête urbaine où tout le monde serait invité et dont personne ne serait jamais
exclu.»
L’art urbain inspire les écrivains. Et vous ,
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